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Oncle André connaît la chanson, conte musical jeune public

Le spectacle

 

 

| Oncle André s’adresse à son neveu, aujourd’hui adulte, à travers une lettre qui relate des faits anciens : les aventures de Gino à la campagne pendant les vacances scolaires. Ces péripéties prennent une tournure éducative car toutes portent une morale ou un message résolument humaniste ou écoresponsable, sur fond de jeux de mots, de rires et aussi d’émotions. La lettre, comme le conte, est transmission de valeurs et d’enseignements.

 

| Le spectacle s’adresse aux enfants, à l’importance des actes quotidiens et au respect de l’environnement, mais aussi aux adultes, invités à retrouver leur âme d’enfant, comme Bourvil l’y invite dans chacune de ses œuvres musicales ici mises en scène.

 

| Le spectacle s’adresse aux enfants parce que la nature et les animaux y sont omniprésents. Comme dans « Les Contes du Chat perché Â» de Marcel Aymé, les animaux – comme les hommes – éprouvent des sentiments : amour, chagrin, abandon… A la campagne ou dans les bois, la nature est une amie, une protectrice d’un certain art de vivre, dispensatrice de bonheur. C’est l’avis de Bourvil, fils d’agriculteurs normands et écologiste avant l’heure.

 

| Le spectacle s’adresse aux enfants parce qu’il met en valeur la langue française. Sa richesse apparaît nettement dans chaque Å“uvre interprétée d’Oncle André connaît la chanson : homonymes, sens, locutions et proverbes… Bourvil jonglait avec le langage, héritier d’une tradition chansonnière propre à la France.

Qu'est-ce qu'un conte musical jeune public ?

 

 

| C’est une courte histoire inventée qui décrit des événements imaginaires. Oral ou écrit, le conte s’inscrit dans une tradition multiséculaire : jadis, jusqu’en 1881 et les lois sur l’instruction obligatoire, les gens n’écrivaient pas et le savoir se transmettait essentiellement par voie orale.

 

| Légendes, mythes, chansons et contes participaient pleinement à l’éducation des enfants. Au coin de l’âtre ou sur les places publiques, on écoutait les histoires joyeuses ou effrayantes que racontaient les anciens.

De fait, nous connaissons la plupart de ces contes oraux comme Cendrillon, Le Petit Chaperon rouge ou Barbe-Bleue grâce à Charles Perrault qui s’en est largement inspiré pour écrire les « Contes de ma mère l’Oye Â», à la fin du XVIIème siècle.

 

| Le conte est flexible : il s’adapte au public, au narrateur, aux coutumes et au temps. Il est une composante commune de toutes les civilisations qui possèdent chacune leurs contes en propre. Le conte est transmission de valeurs et d’enseignements qui aident les hommes à vivre et à comprendre le monde dans lequel ils évoluent.

 

| Oncle André connaît la chanson utilise des ressorts du conte en faisant appel, en plus, à la musique (comme jadis le faisaient déjà les ménestrels dans les châteaux-forts des seigneurs féodaux pour les distraire).

 

| Les épisodes du spectacle sont illustrés par des chansons créées par Bourvil et interprétées au piano par Gino. Elles donnent vie à des souvenirs d’enfants narrés par un vieil homme et par un garçon qui n’est plus un enfant.

 

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